Alice Fournier

Alice Fournier, 19 ans, est étudiante en deuxième année de licence d’histoire de l’art à Aix-en-Provence. C’est vers 8 ans qu’elle commence la danse, tout d’abord exclusivement avec du hip-hop, sans suivre de cursus spécialisé. Elle n’a donc jamais fait de danse classique. Elle débute la danse moderne il y a cinq ans. Pour elle, la danse est un véritable mode de vie, une habitude dont elle ne saurait se passer, une partenaire de tous les jours et une béquille dans les moments douloureux.

Mon expérience du confinement

« C’est l’importance que tient la danse dans ma vie qui a fait du confinement une étape assez douloureuse à surmonter, et qui le sera à nouveau en novembre. Pendant ces moments enfermés, il y a cette envie de danser et de pouvoir utiliser notre corps comme on le veut qui nous démange et nous colle à la peau. Au final, cela nous rappelle le lien étroit que l’on entretient avec cette discipline dont on ne pourrait pas se passer, nous rapproche d’elle davantage, cela devient un nouveau moteur de création et nous donne toujours envie d’aller plus loin et de se dépasser.

Le confinement m’a permis de m’épanouir davantage en danse, et j’espère que cette expérience me servira à affronter un peu mieux le deuxième confinement. »